Le décor ici se savoure. La sauce est relevée de pics en acier. Toujours accompagné de cuir et de chaine. La victime est un larbin, imberbe de la tête au pied. La cheftaine perverse est plutôt perverse, vêtue d'un corset rouge et d'un pantalon de cuir. Avec une patronne aussi pulpeuse, il est difficile de désobéir. Cette souveraine craque à l'idée d'exploser le cul de ce maso, et décide d'en préparer le terrain. Pincer les tétons de la victime consentante puis les tracter avec des chaines. Recouvrir sa bite de cire brulante. Fouetter son cul jusqu'au rougissement de la peau. Presser ses testicules à pleine mains. Puis, armée de gants en latex, préparer son anus en y infiltrant un doigt bien profondément pour prendre la température. Le four est chaud ! La dominatrice à l'esprit pervers s'arme de son sexe de cuir et l'enfonce dans son arrière-train. Lorsque celui-ci atteint le plus profondément l'antre maintenant dilaté, l'homme ressent des frissons de douleur mêlés d'un engourdissement d'extase digne des meilleurs orgasmes masculins. L'homme enflammé se laisse complètement guider et déverse son sperme dans une explosion associée à un beuglement orgasmique. La cheftaine des lieux se fera sucer les pieds pour administrer une ultime humiliation psychologique à notre maso encore et toujours gâté de châtiments.