Dans l'atelier où il travaille avec son vieux père, Albert a peu d'occasions de voir débarquer des chattes en chaleur aussi délurées. Celle-là est venue dans l'atelier sous prétexte de se faire tailler un meuble sur mesure. La curiosité l'a amenée là quand elle a aperçu ce beau jeune type au bar tabac le midi. Elle le rejoint tout en haut de l'escalier dans une pièce qui n'est pas finie et où sont éparpillées quelques chevalets. Aussitôt qu'il l'aperçoit, le jeune type s'empresse de l'accueillir. D'une langue douce, il lui sert un baiser brûlant qui la laisse sur les genoux, juste à la hauteur de sa pine, qu'elle prend dans sa bouche dès que le garçon a baissé son froc. Puis le vieil homme est entré et séduit par la scène, a détaché un bouton ou deux pour livrer passage à sa pine toujours en forme. La femme n'a pas hésité à s'en emparer et à s'en occuper comme de celle du jeune homme, penchée au dessus d'un chevalet qui place dans une position avantageuse son beau petit derrière et sa vulve en feu. À tour de rôle, elle se fait le jeune et le vieux et les deux gars usent et abusent de tous ses orifices largement offerts entre ses gigots écartées. Et on la besogne bien, enfonçant des pines et des doigts habilement, râclant l'intérieur du vagin ouvert de la belle, lui massant d'une main experte, nibards et fesses où s'enfoncent les tenons et mortaises enduits d'une bonne colle blanche qui soudera leur relation pour longtemps!