Ce sont vraiment deux bolides, ces gonzesses blacks aux formes indécentes. Leurs courbes sont entièrement naturelles, et leurs langues se cherchent tandis qu'elles se versent de l'huile à grandes lampées. Une fois leurs corps complètement recouverts d'huile, un bonhomme arrive et les cueille comme des fleurs pour les ramener à l'intérieur. Là, il leur propose un phénomène de la nature : un bon gros dard ravageur et bien raide. Les belles ne peuvent que se jeter dessus, et le recueillir aussi profondément que possible dans leurs grosses bouches avides. Ces deux déesses font tellement palpiter le bonhomme qu'il se voit bientôt contraint de perforer une chatte, s'enfiler dans un tunnel vaginal humecté à souhait qu'il ramone de long en large avec son gourdin. La deuxième gonzesse bout, elle aussi, et finit par venir s'empaler sur ce pylône grandeur nature, avant de lui offrir son cul joufflu en levrette. Voir danser toute cette chair divine et entendre ces cris suraigus le font trembler. Il se retire in extremis pour gicler enfin tout son sperme sur une bonne bouche chaude.