C'est sur le parquet de la salle d'art dramatique que les deux disciples vont répéter d'une manière un peu douteuse. Elles sont habillées de tissus envoûtants qui donnent expressément le ton à la pièce. Une langue coquine sonne le départ, l'autre répond aussitôt ! Encore un peu timides, elles se sucent doucement et mutuellement les mains par de rapeuses trainées de langues. Puis, très vite les langues joueuses parcourent les corps entiers, passant sur les tétons durcis de désir et entre les fentes douces et humides qu'elles se proposent généreusement. Un double gode se retrouve dans les mains de ces sales vicieuses et très bientôt entre leur longues jambes, chemin vers l'orgasme. Mais le jeu devient plus dur avec l'arrivée du maitre? et celui-ci à bien l'intention de les condamner de façon intransigeante. Le tortionnaire ne pourra s'empêcher de claquer de ses mains ces fesses si charnues. Et pourquoi ne pas les équiper d'un gode museau ? Les garces, prises au jeu, ont déjà presque oublié le professeur et s'activent à ces pratiques perverses comme si personne ne les épiait. Ce sont de vraies salopes débauchées ! Comment se retenir de sortir son mandrin d'acier, sinon craquer son pantalon ? Le maitre d'art n'est pas prêt à craquer son falzar et préfère offrir un déluge de sperme chaud sur la poitrine saillante d'une des deux garces !