Le décor sied bien au diabolique plan de ce sadique et de sa masochiste acolyte. Il a coincé une salope et s'apprête à se livrer sur elle à tous les fantasmes évoqués par la vidéo qui défilent sur le grand écran. La gaillarde, avec lui, se prête scénario tordu qui se déroule sur fond de vidéo, de costumes approprié, de cagoule et de corps dénudés. La fille a des seins massifs et des mamelons à croquer. Dominée, elle se laisse attacher et présente sa chatte ainsi largement offerte à son dominant qui en use et en dispose à sa guise. L'homme la manipule comme une poupée désarticulée. Il se livre aux gestes de la strangulation, il la provoque en la giflant, l'immobilise avec des clés de bras et de jambe, en lui frappant les entrailles et les flancs avec entrain. Mimant les scènes de la vidéo, elle se livre à la décapsulation, il la force à lui lécher l'arrière train et les couilles, il la pénètre brutalement tout en respectant les règles sado-masochistes, aucune violence qui ne soit consentie. Leurs émotions confuses semblent décuplées autant par la scène mimée que par la douleur aussitôt calmée par les câlineries parfois violentes, aux zones sensibles de son corps. Toute à son devoir, elle reçoit la semence de son tortionnaire et l'avale sous la menace ambiguë et tendre. Bas les cagoules, les SM sont démasqués.