Il y a quelques temps, cet hôpital a reçu un mâle atteint d'une bien étrange maladie. La peau de sa face était recouverte d'une étrange substance et son regard figé dans une expression horrible. Pourtant quand les soignantes s'en approchaient, elles étaient prises d'une soudaine attaque d'obsession sexuelle. Nous les aperçurent un jour qu'elles allaient voir aux besoins du patient. En entrant dans la chambre elles furent prises de chaleurs telles qu'elles commencèrent d'abord par dégrafer leur corsage. Puis inspectant sous la couette, elles se sentirent attirées l'une vers l'autre et commencèrent à se lécher les nibards, à se fourrer des doigts dans la bouche, à se nounouniafer. Elles s'en prirent ensuite au patient catatonique dont la queue étaient dressée en permanence. Elles le grignotèrent et l'engloutirent à deux jusqu'à l'éveiller et à provoquer en lui une tension sexuelle qu'on n'avait jamais vu. Il culbuta la première nana à sa portée et lui défonça le trou du cul à grand coup de tige, lui arrachant des cris de mort qui excitèrent l'autre encore plus. À son tour, il la prit par derrière profondément provoquant en elle la même jouissance. C'était horrible. Elles semblaient incapables de s'arrêter. Aussitôt qu'une vulve était libre, une bouche s'y jetait. Aussitôt que la l'épée était hors du fourneau de ces bêtes, deux becs s'y accrochaient comme pour la gober complètement. Et à la fin, dans un râle profond, l'étranger s'était vidé les couilles sur leur visage. Les filles obtinrent un congé de plusieurs jours et elles furent remplacées par d'autres qui se croyaient capables de résister au curieux virus du bel étranger.