Dans cette famille obèse, mère et fille majeure, soignent toutes les pines qui franchissent leur espace vital. Cette fois c'est Réal, le brave gars qui se fait offrir l'abondance des chairs? L'action commence dès qu'il a baissé son pantalon. Les deux chaudasses empoignent le vit du lascar et le mettent en bouche avant de l'agiter frénétiquement entre leurs gigantesques lolos. Notre veinard est au ciel, littéralement couvert de d'affection, de rondeurs et d'odeurs. C'est une fête pour les mains, il y a toujours une une bouche ou un sein à portée des doigts. Les orifices par contre demandent plus d'attention. Bien enfouis au fond de leur caverne de peau, les chattes sont sous la protection rapprochée des postérieurs ou alors à l'ombre d'un repli ventral qui descend sur les cuisses. Quand enfin il atteint le centre de la gourmande, l'autre s'acharne sur n?uds de pulsions pour faire monter les sensations de l'épiderme vers le système nerveux et éveiller le désir qui agite les muscles de son large orifice. Ainsi stimulé, l'intérieur du vagin d'Émilie roule comme un grondement d'orage et procure à l'homme une masturbation sans qu'il bouge les hanches. La fille vient vite et s'empresse de céder la place à sa copine plus âgée qui souffle comme un buffle et dégouline maintenant de désir. Le tableau est à la fois grotesque et touchant, on réalise ainsi comment la nature peut reconquérir ses droits en toutes circonstances.